En fait, dessiner, je l’ai dans la main car ma soeur me l’a appris depuis que je suis tout petit. Après, les graphs, c’est venu tout seul mais au début je n’étais pas doué et un jour Benoit, l’ancien surveillant m’a appris les bases du tag : les repères ou « poignet juste » c’est à dire, faire des tracés directs parce qu’il faut que le tracé soit net et faire des reliefs en insistant sur les couleurs. Mais si j’ai appris à taguer, moi, c’est que tout le monde peut le faire. Pour le projet, j’ai voulu m’occuper du dessin pour donner l’envie de lire ou de la joie ou une autre image de nous. En fait, dans notre classe, tous ensemble, je vais le dire franchement, on n’arrive à rien mais en groupe ou individuellement, des fois, on sort de bons trucs, mais avec nos mots.
Trois élèves sont venus à l’atelier cette semaine : Ossra, Jordan et Weronika.
Jordan et Weronika ont répondu à différents messages : aux élèves de la Cla de Bagnolet, également engagés dans le projet Zebrock, à Habib qui s’intéresse à leur travail et à Richard, notre partenaire de la BM qui est venu nous rencontrer lors du T.D. Zebrock.
Ossra a tapé son texte : « L’amour sous toutes ses formes« , lecture croisée de plusieurs chansons du livret. Une chronique originale et très intéressante. Bientôt en linge, à ne pas rater !
-F:C’est impossible de trouver l’homme parfait dont parle DIAM’S car c’est la relation qui doit être parfaite et non les personnes
-G:Nous sommes d’accord mais les filles sont trop coincées.
-F:Pour vous qu’est-ce qu’une fille coincée?
-G:C’est une fille qui ne se dévoile pas
-F:Et qu’est-ce qu’une fille qui ne se dévoile pas?
-G:C’est une fille qui n’aime pas parler d’elle-même, qui est trop renfermée,timide. C’est aussi une fille qui ne met pas son corps en valeur
-F:Si on met trop en valeur notre corps,on a une mauvaise réputation.On n’est pas des jouets,on a aussi une beauté d’âme et une personnalité. Pour pouvoir parler de nous il faut avoir confiance et vous ne nous donnez pas confiance car vous ne voulez que notre corps.
-G:On n’a pas envie de jouer avec les filles. Vous vous trompez on a envie d’une vraie relation.
-F:Qu’est-ce qu’une vraie relation pour vous?
-G:C’est une relation qui dure et dans laquelle on est sincère.
-F:Finalement on est d’accord alors, il y a autre chose qui nous influence
-G:Quoi?
-F:Dans les médias l’image de la femme est négative.
-G/F: N’est-ce pas la société qui nous manipule alors et comment y échapper? Peut-être faut-il exprimer son opinion, la donner, et c’est ce que l’on vient de faire.
Esther, Gaëlle, Ibrahim, Jordan, Violette
Ce serait bien de poursuivre cette discussion dans les commentaires. Elle est très intéressante. (lryf)
Il était une fois un garçon qui s’appelait Momo. Il avait 7 ans. Il allait entrer au C.P. Il avait peur. Momo venait tout juste d’arriver en France . Il avait grandi dans un tout petit village au sud de l’Afrique . Il avait vécu avec ses grand parents parce que ses parents étaient partis france pour travailler. Le jour où il entra à école, il ne savait parler français et ne connaissait personne.
Quand Momo arriva à l’école, il resta tout seul dans la cour. Quelques enfants se morquérent de lui :
– Eh! Toi le nauveau ! Comment tu t’appelles ?
Momo ne répondit pas parce que il n’avait pas compris. Aussitôt un petit groupe d’élèves l’entoura en riant. L’un d’entre eux le bouscula en disant.
- Réponds, espèce de blédar ? T’es d’où sale noir ?
Momo se mit à pleurer et s’enfuit en courant. Il fit le tour de l’école: il traversa la cour, monta un escalier, descendit par un autre, se retrouva à son point-de dèpart. Mais il n’y avait plus personne. Il s’arrêta de courir et se demanda où étaient passés les élèves. Il s’assit par terre dans un petit coin et pensa à ses amis qui etaient restes dans son pays. Il pleura et décida de quitter l’école pour aller dans son pays retrouver ses copains. Il sauta la grille et se retrouva dans la rue. Il courut au hasard dans la rue. Personne ne s ‘occupait de lui pourtant il y avait beaucoup de monde. il ne savait pas ou’ aller. Il traversa la rue vit, l’ entrée d’un parc et décida d’aller se reposer sur un banc. Le vent soufflait fort et les arbres bougeaient, ce qui donna envie à Momo de grimper sur la plus haute branche du plus grand arbre.
Le Sri Lanka est une île dans l’Océan Indien. Il y a trois langues principales : Tamoul, Anglais, et Cingalais
C’est une carte du Sri Lanka. En vert, la zone tamoule et en gris la zone cingalaise. Mais les gens vivent ensemble. Les tamouls peuvent habiter dans la zone cingalaise et les cingalais peuvent habiter dans la zone tamoule.
Coucou c’est Rayanne! J’ exprime mon opinion parce que j’adore le catch. Pour vous montrer un peu ce que c’est, allez sur le lien suivant, une vidéo de Jeff Hardy. Lui c’est mon préféré :
Le catch comporte quand même certaines règles. Pour gagner, il faut river les épaules de son adversaire au tapis pendant trois secondes (décomptées par l’arbitre en frappant sur le tapis). On peut également bloquer son adversaire dans une prise de soumission et le forcer à abandonner , ou alors gagner sur un décompte extérieur (adversaire resté trop longtemps en dehors du ring, en général le temps que l’arbitre compte jusqu’à 10). Enfin, il est possible de gagner sur une disqualification de l’adversaire (lorsqu’il utilise un objet comme arme pour tricher, par exemple).
Il existe de nombreux types de match. Aux États-Unis, un match de catch dure généralement entre 5 et 10 minutes pour un show normal et 15-60 minutes pour un show de plus grande importance (type Pay-Per-View). Traditionnellement, le match oppose un gentil (face) à un méchant (heel) mais ce n’est pas systématique. Bien sûr, la façon dont un catcheur gagne un match sert avant tout à faire avancer le scénario de sa rivalité (dans le jargon du catch, « feud ») avec son adversaire. Les rivalités sont évidemment décidées par les bookers et ne reflètent pas (ou pas forcément) une véritable animosité entre les catcheurs concernés. Dans la mesure où deux catcheurs impliqués dans un feud vont être amenés à lutter souvent l’un contre l’autre, il est même préférable qu’ils s’entendent bien afin d’être sûrs que les matchs ne dégénèrent pas en authentiques règlements de compte et n’entraînent des blessures réelles.
L’issue du match est toujours prédéterminée par les bookers et doit évidemment être acceptée par les participants pour que le match se déroule correctement et sans malentendu. Le gagnant n’est pas forcément le catcheur le plus talentueux ou le plus populaire : victoires et défaites servent avant tout à raconter une histoire. Les matchs les plus importants sont longuement scénarisés, chorégraphiés et répétés. Pour les matchs de moindre importance, les participants se contentent de déterminer et de répéter les temps forts (appelés spots) : prises risquées, saut depuis la troisième corde, bagarre hors du ring, renversement de situation, prise de finition, etc. Le reste est improvisé.
Précisons également que les interviews et les longues déclarations au micro jouent une part de plus en plus importante du spectacle car elles servent de mise en scène pour de futurs matches. Généralement, les catcheurs les moins habiles à s’exprimer oralement sont accompagnés d’un manager servant à parler à leur place et à les valoriser aux yeux du public. On fait également appel à des valets, c’est-à-dire des jeunes femmes qui accompagnent vers le ring les catcheurs en mal de popularité, et qui attirent sur leur poulain l’attention du public de par leur plastique.