Récit de voyage virtuel en Algérie

Récit de voyage virtuel en Algérie

Je vous invite à lire le magnifique récit écrit par un groupe d’élèves de 5ème E dans le cadre d’un projet pluridisciplinaire français/histoire-géographie. Un très beau travail, d’une grande richesse et un récit qui donne vraiment envie d’aller découvrir l’Algérie.

Pour lire à votre rythme, n’oubliez pas que vous pouvez cliquer sur « pause », les deux petits traits qui apparaissent en bas à gauche de l’écran quand on y passe la souris. Pour changer de page, cliquez sur la flèche !

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PARIS ?

Le récit de vie de Valiavo

Un jour ma mère m’a  annoncé que j’ allais partir vivre en France.

Tout  commença par une blague. On me disait  :
« - ça te fait quoi si tu vivais en France? »
je répondais :
« -ça me ferait bien plaisir ». Mais ma famille rigolait. Je me disais que peut-être  ils se moquaient juste de moi et je partais.

Un jour que je quittai à 15h 30mn, quand je sortis de la classe,  je vis ma mère m’ attendre devant le portail du collège. Je me demandais bien ce qu’elle allait encore m’ annoncer parce que quand elle m’ attend à la porte du collège, elle m’annonce toujours quelque chose. Je me  rapprochai, elle me dit :
« -Tu vas aller vivre en France » Je lui répondis:
« - Vous n’allez pas encore recommencer avec votre blague »

Ma mère m’assura qu’elle n’avait jamais été aussi sérieuse. Puis mon professeur préféré est venue me poser quelques questions sur mon départ. En fait, elle le savait déjà aussi mais elle me posait des questions pour m’embêter. plus tard, j’ ai annoncé mon prochain voyage à mes amies, à ma meilleure amie , Valérie et ils me dirent:
« - N’y vas pas! » parce que je leur manquerai. Je leur répondis:
« - J’aimerais bien voir ça. Paris?  »

Mais tout au fond de moi je ne voulais pas aller en France parce que mes amies, ma mère et puis mes frères me manqueraient.

La nuit tomba, je n’ arrivais pas à dormir, j’ imaginais la  France pleine de lumière, comme un paradis où les gens sont  gentils comme des anges puis j ai eu une sommeil magnifique.

Le lendemain  je fis mes valises et le taxi  vint nous  chercher à 7h du matin. On arriva à l’ aéroport d’ Ivato à 10h. Les douaniers  controlèrent mes bagages,  je fis mes adieux à ma mère et  je  montai dans l’avion .  

Il décola à 11h30  je voyageai toute seule .

J’arrivai à l’ aéroport d’ Orly 23h. Là je retrouvai  ma soeur.  J’étais très heureuse!! On prit mes bagages je  montai  en voiture et on partit fièrement vers notre nouvelle vie !

à suivre

Momo

Il était une fois un garçon qui s’appelait Momo. Il avait sept ans. Il allait entrer au C.P. Il avait peur. Momo venait tout juste d’arriver en France . Il avait grandi dans un tout petit village au sud de l’Afrique . Il avait vécu avec ses grand-parents parce que ses parents étaient partis en France pour travailler. Le jour où il entra à école, il ne savait pas parler français et il ne connaissait personne.

Quand Momo arriva à l’école, il resta tout seul dans la cour. Quelques enfants se moquèrent de lui :

– Eh! Toi le nouveau ! Comment tu t’appelles ?
Momo ne répondit pas parce que il n’avait pas compris. Aussitôt un petit groupe d’élèves l’entoura en riant. L’un d’entre eux le bouscula en disant.
- Réponds, espèce de blédar ? T’es d’où sale noir ?

Momo se mit à pleurer et s’enfuit en courant. Il fit le tour de l’école: il traversa la cour, monta un escalier, descendit par un autre et finit par se retrouver à son point de départ mais il n’y avait plus personne. Il s’arrêta de courir et se demanda où étaient passés tous les enfants. Il s’assit par terre dans un petit coin et pensa à ses amis qui étaient restés dans son pays. Il pleura et décida de quitter l’école pour aller dans son pays retrouver ses copains. Il sauta la grille et se retrouva dans la rue. Il courut au hasard dans la rue. Personne ne s’occupait de lui pourtant il y avait beaucoup de monde. il ne savait pas où aller. Il traversa la rue, vit l’entrée d’un parc et décida d’aller se reposer sur un banc. Le vent soufflait fort et les arbres bougeaient, ce qui donna envie à Momo de grimper sur la plus haute branche du plus grand arbre.

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LE GÉANT ET SA FEMME

Il était une fois un géant qui s’appelait Koto. Il habitait avec sa femme Fara dans un lieu sombre et plein d’arbres : La forêt de Kotobé qui se trouve au sud de Madagascar. Koto était très gourmand. Il pouvait manger quinze vaches en un seul repas.
Un jour, le géant dit à sa femme :
- J’ai très faim! Qu’est-ce qu’on mange?
- Mange le poulet, lui répondit Fara.
Et Koto mangea le poulet en une seule bouchée sans êmême le aire cuire mais cela ne lui suffit pas :
- J’ai encore faim! Donne-moi autre chose à manger.
-Mange le boeuf, lui proposa Fara.
Et Koto mangea le boeuf mais aussi six canards, vingt chèvres et ses deux chiens, mais cela ne lui suffit toujours pas. Il reposa alors la même quesion à sa femme mais cette ois-ci, elle lui répondit qu’il ne restait plus rien à manger.
- J’ai une idée ! lui dit-il alors.
- Quelle est ton idée ? demanda Fara inquiète.
- Et si je te mangeais toi ma femme ! Dit Koto en se frottant les mains.
Aussitôt Fara prit la fuite et monta sur un gran rocher. Koto la poursuivit mais il était si gros et si lourd qu’il ne réussit pas à grimper. Il tomba et mourut.

Et ce qu’est devenue Fara, c’est une autre histoire que je vous raconterai peut-être une autre fois.

I TOHY

Une histoire proposée par Loma
Réécriture collective

L’interview de Loma :

L’interview d’Abdou :

LA PASTÈQUE

Un jour,un sdf avait acheté une pastèque. Il marchait en pensant à sa vie. Tout à coup il laissa tomber la pastèque parce qu’il était distrait. Aussitôt un génie en sortit.

- Ah mon maitre ! Demande ce que tu veux, je le ferai, dit le génie.

- Je veux une belle maison, répondit le sdf.

Le génie éclata de rire :

- Je n’ai pas trouvé de maison pour moi-même. Tu vois que bien que j’habite dans une pastèque !

Une histoire proposée par Myriem.
Réécriture collective en classe.

L’interview de Myriem :

L’interview de Macaire :

LE GÉNIE

Il était une fois un homme riche qui avait une belle et grande voiture. Son ami était pauvre mais possédait une voiture en bois extraordinaire car elle était habitée par un génie.

Un beau jour, l’homme riche partit voir son malheureux ami pour lui montrer sa nouvelle et magnifique voiture :

- Regarde! Regarde-moi! Regarde comme j’ai une immense et jolie voiture !
- Oui, vraiment, tu as de la chance. Ta voiture est fantastique ! Mais la mienne aussi est magnifique car elle est habitée par un génie.
- Ce n’est pas possible! Je ne peux pas te croire. Tout le monde sait que les génies sont rares. Certains même disent qu’ils n’existent pas. Si u veux me convaincre, prouve-le moi, reprit le riche.
Aussitôt son ami s’adressa à son fidèle et brave génie :
- Ah! Génie! Mon petit génie adoré, fais-moi un délicieux thé sucré et bien chaud, s’il te plaît.
Le génie sortit de son petit logement et obéit respectueusement à son gentil maître :
- Maître, voici ton thé.
- C’est incroyable! Tu as raison! C’est génial! Ta voiture est bien mieux que la mienne finalement même si la mienne est confortable et solide. Au nom de notre amitié, je te la donne si tu me donnes la tienne. Tu verras, tu vas faire sensation, proposa alors le riche envieux.
- Tu es bien gentil. Je te remercie. Au nom de notre amitié, prends-là, je te la donne. Et prends bien soin de mon génie.

Le riche était tout heureux d’avoir fait une bonne affaire et il rentra chez lui.
- Chéri, où est passée notre voiture ? lui demanda sa femme en levant les bras au ciel.
- J’ai échangé notre voiture contre une voiture en bois mais qui a un génie, lui répondit son mari tout fier de lui.
- Tu mens ! Ce n’est pas possible ! Arrête de toujours t’inventer des histoires! dit la femme en colère.
- D’accord , tu ne me crois pas mais tu vas voir ce que tu n’as jamais vu, reprit son mari très confiant. Il se tourna vers sa voiture et lui dit :
-Génie, sors de ta cachette !
Aussitôt le génie sortit de la voiture et le regarda.
-Génie, donne-moi deux voitures, ordonna le riche.
- Désolé, je ne fais que du thé.

Une histoire proposée par Jonathan
6 octobre : 2ème Réécriture collective en classe

L’histoire :

L’interview de Jonathan :

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LE TRÉSOR

Le début du récit est là (pour ceux qui n’ont pas suivi)
Pendant que Tom et Lisa étaient heureux de l’autre côté de la ville, Mr.Gairden, celui qui prête l’argent aux gens, parlait avec Mr.Aaron, le père de Tom. Ils discutaient sérieusement.
- Vous avez-oublié que vous devez me rendre mon argent ?, demanda Mr.Gairden.
- Je suis désolé, mais je n’ai pas l’argent en ce moment. Si vous me donnez encore 6 mois , je pourrais vous payer, répondit Mr. Aaron.
- Non! Je ne vous donne que 2 mois, dit Mr.Gairden.
- Mais… -Non, c’est fini. Si vous ne me donnez pas mon l’argent, je prends votre maison.

Mr. Aaron était vraiment triste. Il ne savait pas s’il pourrait le rembourser en 2 mois parce que c’ était un pauvre marin. Quand il rentra chez lui, il exposa son problème à son épouse. Ils ne savaient pas tous les deux Tom et Lisa les avaient entendus après. Ce qui va se produire…

( Attendez et voyez……)

Nigesh

MOMO

Il était une fois un garçon qui s’appelait Momo. Il avait 7 ans. Il allait entrer au C.P. Il avait peur. Momo venait tout juste d’arriver en France . Il avait grandi dans un tout petit village au sud de l’Afrique . Il avait vécu avec ses grand parents parce que ses parents étaient partis france pour travailler. Le jour où il entra à école, il ne savait parler français et ne connaissait personne.

Quand Momo arriva à l’école, il resta tout seul dans la cour. Quelques enfants se morquérent de lui :

– Eh! Toi le nauveau ! Comment tu t’appelles ?
Momo ne répondit pas parce que il n’avait pas compris. Aussitôt un petit groupe d’élèves l’entoura en riant. L’un d’entre eux le bouscula en disant.
- Réponds, espèce de blédar ? T’es d’où sale noir ?

Momo se mit à pleurer et s’enfuit en courant. Il fit le tour de l’école: il traversa la cour, monta un escalier, descendit par un autre, se retrouva à son point-de dèpart. Mais il n’y avait plus personne. Il s’arrêta de courir et se demanda où étaient passés les élèves. Il s’assit par terre dans un petit coin et pensa à ses amis qui etaient restes dans son pays. Il pleura et décida de quitter l’école pour aller dans son pays retrouver ses copains. Il sauta la grille et se retrouva dans la rue. Il courut au hasard dans la rue. Personne ne s ‘occupait de lui pourtant il y avait beaucoup de monde. il ne savait pas ou’ aller. Il traversa la rue vit, l’ entrée d’un parc et décida d’aller se reposer sur un banc. Le vent soufflait fort et les arbres bougeaient, ce qui donna envie à Momo de grimper sur la plus haute branche du plus grand arbre.

 

A SUIVRE

Amine, Catherine, Cécilia, Claudia, Mouhad, 5ème

LE TRÉSOR – Nigesh (cla)

Il y eut un orage soudain et les vagues devinrent comme des monstres. Pendant cet orage, toutes les personnes étaient à l’intérieur de leur maison. Seuls Tom et son amie LISA étaient dehors sur la plage. Ils avaient juste 15 ans mais aimaient découvrir la plage pendant l’orage. Tous les deux aimaient beaucoup la plage.

Pendant qu’ ils marchaient sur la plage, Lisa vit quelque chose sortir du sable. Tom et Lisa dégagèrent l’objet. C’était une petite boîte en bois avec une serrure. Elle était très vieille. Là quelques trous et la serrure étaient rouillée. Qu’est-ce qu’il y avait l’intérieur de la boîte ?

- On l’emmène chez moi, dit Tom à Lisa. – Ok, répondit-elle.

Après qu’ils soient allés à la maison de Tom ils ont silencieusement pris la boîte dans la chambre de Tom. Ils l’ont ouverte pour voir ce qui était dedans, c’ était un livre vraiment vieux. La couverture avait été faite de cuir et quelque chose comme une ceinture était autour du livre. Sur la couverture quelque chose était écrit. Ce n’était pas clair. Mais Lisa est parvenue à le lire. Il était écrit « Le Trésor De La Ville De Mer »qui était le nom de leur ville dans des périodes plus anciennes.

attendez et voyez………

22 Février

– Tom est-ce possible?, demanda Lisa.

- Je le pense. Lisons ce qui est écrit dans ce livre, répondit Tom.

Quand ils ouvrirent le livre, il y avait un nom écrit. C’était Thomas Aaron à qui ce livre avait appartenu. Ils furent tous les deux choqués parce que le nom de Tom était Aaron aussi.

- Il pourrait être l’un de vos ancêtres, dit Lisa étonnée.

- Peut être, lui répondit-il.

-S’il en est ainsi, le trésor de la ville de mer pourrait appartenir à ta famille, dit Lisa.

-Oui, mais comment se fait-il que l’on ne sache rien au sujet du trésor ?, demanda Tom.

- Attends nous nous ayons lu le reste du livre avant de prendre n’importe quelle décision, suggéra Lisa .

- oui tu as raison, dit Tom.

Alors ils commencèrent à lire le livre. C’était comme un journal intime. Ils ne pouvaient pas tous lire parce que les mots n’étaient pas clairs. Mais ils réussirent pourtant à le lire entièrement.
Thomas Aaron était le capitaine d’un bateau appelé le cavalier d’or de mer. Un jour, alors qu’ il était en mer, il trouva un bateau de pirate dans lequel tous les marins étaient morts. Lui et ses amis allèrent sur le bateau et trouvèrent la boîte en bois. Quand ils l’ouvrirent, elle était pleine d’or, de diamants et de plus de richesse. Thomas Aaron devint riche. Mais toutes les personnes étaient jalouses de lui et essayaient de le tuer. Aussi il cacha sa part dans un endroit de la ville de mer et dessina une carte, qu’il enterra cela également, pour indiquer où il avait enfoui le trésor. Par la suite, il fut empoisonnée et mourut.

Maintenant la carte appartenait à Tom et à Lisa. Qu’allait-il se produire ?

(Attendez et voyez……)

Nigesh

 

 

À LA PISCINE

Je me souviens d’ un jour de vacances et je sais que je n’oublierai jamais. J’étais à la piscine avec ma grande soeur. il faisait très beau, il y avait beaucoup de monde et ce jour là je me suis fait des amies que je fréquente encore aujourd’ hui.

Ma soeur et moi avions passé beaucoup de temps dans l’ eau à nous amuser en nageant comme des poissons. Tandis que je parlais avec mes nouvelles amies, j entendis tout à coup des cris. Je reconnus la voix de ma soeur et je pris peur parce que j’ eus l’impression qu’ elle appelait au secours. Je la cherchais des yeux paniquée et je finis par la voir à l’autre bout du bassin. Je crus qu’elle se noyait parce qu’elle agitait les bras. Je traversai rapidement la piscine, je bousculai les nageurs pour aller la sauver. Je me souviens que tous les gens qui étaient à la piscine me regardaient avec admiration. J’arrivai à temps prés de ma soeur. Je l’attrapai par la taille, nageai avec elle jusqu’ au bord du bassin et la sortis de l’eau. Ma soeur me sauta au cou en pleurant et je pleurais avec elle.

C’est ce jour là que nous avons compris à quel point nous nous aimions.

Fatou